mercredi 15 avril 2015

Carnet d'Islande : jour 9, 14 mars 2014

Les articles à propos du voyage en Islande sont extrait de mon journal de voyage écrit sur place au jour le jour. Il est donc probable que le style, ainsi que les informations et les opinions que je donne, varient et se contredisent en fonction des découvertes et de la fatigue du jour concerné. Merci d'avance de votre indulgence.
 
Nous voila donc bloqués pour la journée. Heureusement pour nous, l'un des points remarquables du lac Mývatn se trouve juste en face de Skútustaðir où nous logeons, nous pouvons donc faire au moins cette visite aujourd'hui et nous aventurer dans les pseudo cratères malgré le vent. Et le vent étant en effet bien sauvage, une demi-heure dehors nous suffit bien pour la journée.

Les pseudo cratère sont en fait un rassemblement de petites collines dont certaines présentent
bien un cratère à leur sommet, mais pas toute.

On s'y ballade de l'un à l'autre par un chemin balisé, par temps clément
le paysage doit donner envie de s'attarder.

 Certains n'ont donc pas tenu compte des conseils de la météo et ont prit leur voiture pour...
traverser le lac gelé... moui moui moui

Malgré le beau ciel bleu et le vent à décorner des bœufs, les plus hautes montagnes du coin sont encore
"chapeautés" de nuages.

Un autre mille-feuilles de couleur islandais
(même si je suis d'accord, les couches ne sont pas toutes bien droites)

 On ne dirait pas hein, qu'on gèle de froid sous le vent...

Plus tard dans l'après-midi, comme proposé par la farm/guesthouse, je suis allée jeter un œil aux animaux de la ferme. Parce que bon, l'Islande est quand même sensé être le pays des moutons et pourtant nous n'en avons même pas encore vu le bout du pied d'un seul. Les troupeaux sont en effet gardés en intérieur la majeure partie de l'année, ne sortant dans les pâtures que de fin mai à fin septembre, et c'est pareil pour les vaches, seuls les chevaux restent dehors en hiver.
Si ni les moutons, ni les vaches, n'ont pas l'air malheureux, je n'ai pas pu m’empêcher de trouver ça un peu triste.

Le mouton islandais (tout comme les autres animaux d’élevages sur l'île),
bien que d'une race unique, présente des laines de couleurs différentes.

 Du coup, pas un ne se ressemble et il est très simple de les distinguer,
ce qui les rend d'autant plus attachants.

Il semble que certains fassent tout pour attirer l'attention.

 Il n'y a pas de feignants sur la nourriture.

Chez les vaches non plus d'ailleurs.

 Toute la famille va à l'étable, mais quand on a 7 ans, c'est surtout pour jouer.

Qu'on se le dise, le chien islandais est affectueux,
et pour peu qu'il ait quelques caresses, vous regarde avec adoration.

Ah et il est super obéissant aussi, bref, si je n'étais pas si convaincue de la supériorité féline,
c'est le genre de chien que je voudrais.

En tout cas, j'ai eu ma dose d’extérieur et Amaël sa journée sans voiture et sa dose de repos. Nous sommes d'attaque pour repartir vers la suite de notre périple.

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