mardi 6 décembre 2016

La vie pas à pas 2016 #45 - 2ème partie

Lundi 7 novembre


Au réveil, il neige. Oui début novembre, et pas qu'un peu, un instant je pense même que ça va tenir, c'est dire. Je pars donc faire 3 courses au Franprix d'en bas sous les flocons (et constate que c'est la panique coté voitures). Mais le temps que je parte finalement au travail, la neige s'est transformée en pluie glacée. Reprise du boulot. Je ne suis pas fort fort motivée mais toutes les bonnes choses ont une fin semble-t-il. Apparemment ma chef-toys à été débordée pendant mon absence. Sinon pas de grands changements. Je distribue les cadeaux-collègues que j'ai ramené (des baguettes). En sortant direction chez Clémence pour une répétition des Conteuses de pas. Puisqu'il fait un froid de canard, j’achète les légumes pour une soupe à cuisiner sur place. Répet pour retravailler des arrangements car avec le CD en vue il nous faut bosser en profondeur. Inutile d'enregistrer des choses pour lesquelles nous ne sommes pas toutes 100% d’accord. On fini tard mais Wirggy me ramène chez moi puisque pour un petit temps nous sommes presque voisines.

Mardi 8 novembre
Deuxième jour de boulot et je suis déjà dans une certaine routine, c'est fou ce que l'on s'y remet vite. Bien sûr le boulot arrive 5min avant que je parte et c'est urgent. Je passe à la boucherie pour du steak et du boudin (noir et aux pommes) et au magasin bio pour salade, pommes et patates. Rentrée à la maison j'entreprends de passer les photos du Japon sur l'ordinateur pour les trier mais juste les transférer prend déjà un temps infini. Quand monMari revient on va prendre des renseignements à la salle de sport proche de la maison qui fait plutôt ce que l'on recherche (donc remise en forme, plutôt que gonflette) et on prend rendez-vous pour la semaine prochaine. De retour à la maison je fini le chargement et commence le tri, vu qu'il y a eu un soucis et que les photos se sont mises en double rien que d'enlever les doublons me prends en fait toute la soirée. Je m’écroule à 22h30 comme une loque. Joie.

Mercredi 9 novembre
Je recommence à me faire mes sandwichs maison pour le boulot ce qui me met en retard et me fait partir en catastrophe. Au boulot en plus du bouclage du jour je dois m'occuper de la création du site internet du CE et c'est urgent comme pas mal de choses. En sortant direction Belleville et Paris Store pour trouver des fournitures pour le repas japonais de ce week-end. Mon sac de course devient vite très lourd et je dois renoncer à acheter de la bière japonaise que je serai incapable de porter (mais en tout cas j'ai presque tout trouvé). Ensuite je vais chez Sœur et son love pour diner et faire des échanges entre ce que j'ai ramené pour eux du Japon et ce qu'ils ont ramené pour nous. Au diner ce sont des pâtes italiennes fourrée, dans mon assiette c'est speck et viande haché et c'est diablement bon. MonMari arrive pour dire bonjour et livrer la caisse de tomate donnée par Pôpa et nous rentrons tous les deux. Avec la pluie et les ennuis sur la route il rate presque sa réunion Skype du Carambal, je prend le temps de lui faire à manger et je m'écroule dans le lit pour dormir même s'il n'est que 21h30, c'est pas ce soir que je trierai mes photos du japon.

Jeudi 10 novembre
Dernier jour de la semaine (oulala c’était long semaine (ironie)). Je finalise la commande pour le site du CE. Je ne suis pas très motivée pour bosser et j'ai l'impression de ne pas être la seule. En sortant direction les magasins pour le cadeau de ma belle-sœur et les dernières courses du repas de demain (à Picard il y a les Edamame). Puis cours de chant indien, vu que c'est moi qui ai le droit de choisir on fait rag Megh Malhar (j'adore les ragga de la mousson). Puis direction le Quiet man. Veille de jour férié, c'est plein à craquer et les chanteurs se sont retrouvés dans la pièce du fond, celle qui résonne très fort, c'est pas hyper agréable, mais l'ambiance est cool et au bout d'un moment, l'autre pièce se vide et on peut y bouger. monMari et moi on essaye de ne pas se rentrer trop tard (même si tout est relatif). Demain à beau être férié, on se lève quand même.

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