jeudi 20 mars 2014

Oldelaf en concert

Vendredi soir, j'ai consommé mon cadeau de Noël dernier. En effet Amaël m'a offert pour l'occasion une place pour un concert d'Oldelaf, charge à moi de choisir la date et la salle. Comme je préfère les petites salles, j'ai cherché une autre date que celle du Zénith en Novembre. Heureusement, bien que bien plus connu depuis 1 ou 2 ans, l'artiste n'a pas renoncé à son habitude de parcourir toutes les petites salles de France et il était donc en concert au Rack'am à Bretigny-sur-orge le 15 mars. C'est donc là que nous sommes allés le voir.
Public de petite salle = public familial : des enfants, des abonnés et une ambiance plutôt détendue et curieuse.
Ben Mazué qui assurait la première partie du concert, à été ma fois plutôt convainquant. Il a réussi avec brio à s'adapter à un public venu pour un autre sans pour autant sacrifier son style (sa transformation de "la Tristitude" en "la Cute-itude" reste un de mes bons souvenirs de la soirée).
Par la suite, ne pouvant apercevoir la scène que par dessus l'épaule de mon très grand voisin de devant, j'ai béni les cours de danse pris depuis 10 mois qui me permettent de tenir bien plus longtemps qu'avant en extension sur mes demi-pointes de pied, aussi bien que la proportion d'Oldelaf à rebondir sur scène toutes les dix minutes environ. Concert oblige, c'est plutôt un condensé de chansons rythmés qui nous ont été servies, avec bien sûr une grande proportion de chansons du nouvel album, mais pas que puisqu'à défaut des Hippopotames, nous avons eu le droit à Nathalie ainsi qu'à un medley "sentimental" regroupant une bonne partie des "vieilles" chansons "à prénom féminin" d'Oldelaf sous le prétexte que chacune de ses histoires d'amour l'a inspiré. Dans les interludes nous avons appris comment changer un chien en n'importe quel animal avec de la peinture et un tuyau de PVC (non vous ne voulez pas savoir) et aussi comment Michel Sadrou se débarrasse d'un batteur encombrant (si si), entre autres...
Bref de la bonne musique, des blagues d'un humour aussi bancal que drolatique, de l'énergie à revendre et un final acoustique au milieu d'un public assis par terre, que demander de plus ?
Ah si je sais : Encore !

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