En Live
photo © Richard Gain
photo © Richard Gain
L'article d'explications techniques du projet vidéo-lumière ayant été plus long que prévu, je me suis dit qu'il en fallait bien un second pour vous parler du bal en lui-même. Vous vous en doutez, je n'ai pas pu quitter mon "poste de travail" et je n'ai par conséquent pas pu danser, de mon point de vue ça à donc plus été un concert qu'un bal.
J'avais déjà assisté à un bal de Prends garde aux loups à l'époque où ils s'appelaient encore TFC. Ce blog existait déjà et, si je n'en ai pas parlé à l'époque, c'est que le bal n'avait rien eu de marquant. Il faut dire qu'une sono proche du catastrophique associée à un groupe visiblement plus habitué à chanter sans micro qu'avec n'aidait sûrement pas. Mais ce qui rendait surtout ce bal oubliable c'est le problème que j'évoquais dans mon article sur Damada, à savoir qu'il est plus facile et plus naturel pour un chanteur de se produire pour être écouté, plutôt que pour faire danser. En gros TFC en mars, c'était sympa à écouter, mais ça ne donnait pas plus que ça envie de se lancer sur la piste de danse.
Prends garde aux loups en mai, c'était une toute autre affaire. Si la prestation n'a pas été parfaite en tous points, recelant quelques erreurs de textes et de rares fausses notes, l'énergie qui s'en dégageait était proprement impressionnante. Même pour moi qui connaissais bien les chansons et les avais plusieurs fois entendues dans la bouche de ces même chanteurs, j'ai eu l'impression de tout redécouvrir et surtout, surtout, rester coincée derrière la console des lumières était un vrai calvaire. A tel point que je me suis tout de même échappée pour danser une scottish sur "Madeleine de Loctudy", une chanson que j'aime beaucoup et que j'entends Aurel chanter depuis que je le connais. J'ai bien regretté cette désertion sur la chanson suivante durant laquelle j'ai du mettre les bouchées doubles et je n'ai pas réitéré la tentative.
Et puis je me suis rappelée que les garçons sur scène non plus ne pouvaient pas danser et je me suis dit que, si être frustrée de danse était le prix à payer pour participer en tant que membre de l'équipage à un projet qui le mérite, ce n'était pas bien cher payé.
Si Prends garde aux loups refait un bal bientôt, n'hésitez pas et allez-y, vous danserez pour moi qui ne peux pas.
Prends garde aux loups en mai, c'était une toute autre affaire. Si la prestation n'a pas été parfaite en tous points, recelant quelques erreurs de textes et de rares fausses notes, l'énergie qui s'en dégageait était proprement impressionnante. Même pour moi qui connaissais bien les chansons et les avais plusieurs fois entendues dans la bouche de ces même chanteurs, j'ai eu l'impression de tout redécouvrir et surtout, surtout, rester coincée derrière la console des lumières était un vrai calvaire. A tel point que je me suis tout de même échappée pour danser une scottish sur "Madeleine de Loctudy", une chanson que j'aime beaucoup et que j'entends Aurel chanter depuis que je le connais. J'ai bien regretté cette désertion sur la chanson suivante durant laquelle j'ai du mettre les bouchées doubles et je n'ai pas réitéré la tentative.
Et puis je me suis rappelée que les garçons sur scène non plus ne pouvaient pas danser et je me suis dit que, si être frustrée de danse était le prix à payer pour participer en tant que membre de l'équipage à un projet qui le mérite, ce n'était pas bien cher payé.
Si Prends garde aux loups refait un bal bientôt, n'hésitez pas et allez-y, vous danserez pour moi qui ne peux pas.
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