Lundi 12 juin
Répétition des conteuses, on bosse sur un arrangement qu'on reprend pour qu'il soit nettement plus fun. Et ça l'est déjà à chanter. Ce coup-ci on a la forme et quand monMari vient me chercher à 23h, on fini tout juste.
Répétition des conteuses, on bosse sur un arrangement qu'on reprend pour qu'il soit nettement plus fun. Et ça l'est déjà à chanter. Ce coup-ci on a la forme et quand monMari vient me chercher à 23h, on fini tout juste.
Mardi 13 juin
Ce soir ce sera sport. Au final monMari arrive plutôt bien à gérer sa séance il est content, ça ne nous empêche pas de finir crevé mais c'est un peu le principe.
Mercredi 14 juin
Comme monMari est en déchargement de Carambal, je cherche quoi faire de ma soirée. D’abord c'est une une mini repet de musique indienne pour le spectacle de demain au niveau de l’amphithéâtre du parc de Belleville (après avoir trainé 20 minutes dans le parc blindé à la recherche du spot idéal. Pour, au bout de 20 min de répétition, se retrouver avec une chorale qui répéte (de toute ses forces) à 20 mètres de nous (c'est le soir des 20)). Comme ça ne se fini pas trop tard je rejoint ensuite Clara pour un spectacle musicalo-comique du coté de Montreuil. Gaston moins le quart est une pièce/tour de chant qui joue beaucoup sur les ambiances et si quelques scénettes me font beaucoup rire (notamment la bouchère et son abonnement au théâtre ou le mec qui prend ses week-end de la manière la plus ennuyeuse possible pour rendre par contraste sa vie plus palpitante) je n'arrive par contre à retenir aucune chanson. Je les trouve jolies mais aucune ne m'accroche le cerveau, aussitôt appréciées, aussitôt oubliées, et ça c'est un peu frustrant. On va ensuite se faire un restau dans la zone en boboïsation de Montreuil à 3 avec une copine de Clara (pour moi ça sera couscous) en discutant voix, chant et doublage. Ensuite je rentre tranquillement dans mes pénates.
Jeudi 15 juin
Grosse grosse journée de boulot, demain on boucle un roto et aujourd'hui je suis seule pour le gérer. Au lieu d'avoir un peu de temps pour moi comme je le prévoyais pour me poser avant la représentation de chant indien j'y débarque donc au tout dernier moment. Le Macareux c'est mignon mais tout petit donc vite plein. Comme on est pas sur une scène mais au sol à cause de notre nombre, le public nous surplombe et c'est un peu oppressant. On commence par nous annoncer qu'un des plus important tabliste de la musique classique indienne est présent dans la salle. C'est donc moi qui commence en solo en chantant ce qui est l'un des hymne de l'Inde, sans aucune pression donc... Blague. Sans échauffement et stressée, je fais un truc "pas trop mal pour une occidentale" en gros. Je suis tellement énervée par moi-même que j'en pleurerai de rage. En plus, au centre de la scène et jouant la tanpura je suis présentée comme la plus avancée des élèves (dans les faits c'est le cas), ce que je produits est donc directement imputé à ma prof, ce n'est pas uniquement moi qui serait juger mais aussi son enseignement et autant dire que pour le moment je n'y fais clairement pas honneur. Bon, je suis pleine d’énervement contre moi-même et de honte mais depuis le temps que je fais de la scène je sais maintenant comment prendre tout ça et en faire un petit paquet à mettre sur le coté et à réexaminer quand j'en redescendrai, hors de question de se laisser déstabiliser. L'astuce mentale fonctionne et ma dextérité vocale va s’améliorant au cours de l'heure qui suit, je fini donc la prestation à mon niveau normal. Quelques saluts et on fait une pause avant la seconde partie. De mon coté j'en profite pour filer, non sans m'excuser auprès de Guillaume qui joue cette seconde partie. Direction le Quiet man avec Clara car aujourd'hui nous avons une invitée de Normandie. Ça me fait très plaisir de voir Agnès, la soirée est tranquille mais sympas.
Vendredi 16 juin
Après le boulot je file direction le Générateur. Ce soir c'est Carambal et même si je ne fais pas partie officiellement de l'asso vu que je suis libre avant ça me parait naturel de filer un coup de main. En l’occurrence c'est la course aux câbles de crêpière quand j'arrive. Tenir une échelle, faire fondre du beurre, un coup de main par-ci par-là, une galette presque complète et la soirée commence avec Blurry & Smoky, se poursuit avec Planchée et se fini avec Sous le pont. Le son de la salle est parfait, pas trop fort et très clair, il y a beaucoup de place pour danser, l'exposition de Laurent Melon est un superbe décor de bal, bonus spécial pour les scopitones qui a eux seuls auraient pu m'occuper la soirée si je n'avais pas voulu danser. En plus on a le droit a une maraichine et a un Bal limousine dans la soirée (deux des danses que je préfère) que demande le peuple. Que le bœuf de fin soit top ? Accordé ! On conclu avec Clémence et Wirggy par une mazurka vocale à 3h du matin. Un peu de rangement et tout le monde au lit !
Après le boulot je file direction le Générateur. Ce soir c'est Carambal et même si je ne fais pas partie officiellement de l'asso vu que je suis libre avant ça me parait naturel de filer un coup de main. En l’occurrence c'est la course aux câbles de crêpière quand j'arrive. Tenir une échelle, faire fondre du beurre, un coup de main par-ci par-là, une galette presque complète et la soirée commence avec Blurry & Smoky, se poursuit avec Planchée et se fini avec Sous le pont. Le son de la salle est parfait, pas trop fort et très clair, il y a beaucoup de place pour danser, l'exposition de Laurent Melon est un superbe décor de bal, bonus spécial pour les scopitones qui a eux seuls auraient pu m'occuper la soirée si je n'avais pas voulu danser. En plus on a le droit a une maraichine et a un Bal limousine dans la soirée (deux des danses que je préfère) que demande le peuple. Que le bœuf de fin soit top ? Accordé ! On conclu avec Clémence et Wirggy par une mazurka vocale à 3h du matin. Un peu de rangement et tout le monde au lit !
Samedi 17 juin
Le réveil est un peu rude. Mais on a rien de prévu dans la journée donc ce n'est pas bien grave. On décole vers 15h et, 2 heures de transport plus tard, nous voici à Montigny-sur-loing. On commence par un petit tour à la plage sur la rivière (pleine de monde mais peu importe).
Le réveil est un peu rude. Mais on a rien de prévu dans la journée donc ce n'est pas bien grave. On décole vers 15h et, 2 heures de transport plus tard, nous voici à Montigny-sur-loing. On commence par un petit tour à la plage sur la rivière (pleine de monde mais peu importe).
Avant de retrouver Flo et de monter au haras, ce soir c'est initiation et bal folk, l'initiation est gérée par monMari et moi, le bal folk animé par le GROUMpF. Leur musique se prête particulièrement bien à ce genre de lieu, intimiste et bon enfant. On n'a pas forcément énormément de gens mais ceux qui sont là passent une bonne soirée et je pense que c'est l'essentiel. On file par le train de 23h45 qui nous fait rentrer à la maison bien tard mais j'aime autant quand même dormir dans mon lit.
Dimanche 18 juin
Pour midi on doit retrouver Sœur, son Love et Mlle R. pour pique-niquer sur les bords de la seine. On trouve un coin d'ombre avec même un peu de vent sous la passerelle Simone de Beauvoir. Le premier melon que je mange de l'année, choisi conjointement avec monMari sur de multiples indicateurs (poids, odeur, décollement de la tige) s’avère très bon. Après déjeuner on se réfugie chez eux (il n'y fait pas plus frais cela dit) ou je me transforme en liquide sur leur canapé. On prend quand même le temps d'ajuster les jupes japonaises de Sœur et de moi afin que je puisse les finir prochainement. Et on regarde le Livre de la jungle en film live (heu bof en fait). De retour tranquillement à la maison je fais des soba pour qu'on arrive à manger quelque chose malgré la chaleur et la soirée se passe sans rien de signalable.